Bonjour,
Je ne comprends rien à qui vous êtes mais j’aime votre blog, on se croirait au Moyen Age, chez Daumier graveur, chez Lautréamont, DONC je vous propose des horreurs, tellement à mes yeux il y a lieu de secouer notre ami commun, le lecteur.
C’est ce qui m’amène, c’est de vous parler de deux titres parus tout récemment et qui commencent à trouver leur public, ici en Suisse: un roman noir berrichon (le Grand Meaulnes pataugeant dans La Mare au diable, ça semble curieux), et des nouvelles, noires elles aussi, racontant les sous-sols d’une ville au-dessus de tout soupçon, Zurich, où Molière est aussi connu…
Quelques infos sur les liens ci-dessous.
A propos de Graine de Sabbat
A propos de Zurich by Night https://sites.google.com/site/destextesareagir/Trois-titres/graine-de-sabbat/textes/dossier-de-presse-zurich-by-night
Ce n’est pas forcément ce qu’on attend, ce que l’on aime quand on aime vos pages. Mais si ces quelques mots de présentation du roman ou des nouvelles avaient l’heur d’éveiller votre curiosité peut-être aurai-je la chance de vous voir passer un peu de temps à en rédiger une critique ?
Avec l’accord des éditeurs (Nan…?!), je tiens à votre disposition les PDF des textes et images de couv. Voire un exemplaire papier, mais nous sommes pauvres.
Au plaisir de vous lire,
Laurent Trousselle
Bonjour
Vous avez posté un texte sur Apollinaire et Sherlock Holmes. Ce texte est très intéressant. Où peut-on trouver svp la référence du texte d’Apollinaire? Vous présentez le texte d’Eugène P., mais où peut-on lire le texte d’Apollinaire svp? Sur Gallica, il est introuvable.
Merci d’avance. C’est assez urgent, c’est pour un article qui doit paraître bientôt. Bonne soirée,
Dr Xavier Riaud
Docteur en chirurgie dentaire
Docteur en épistémologie, histoire des sciences et des techniques
Lauréat et membre titulaire de l’Académie nationale de chirurgie dentaire
Membre libre de l’Académie nationale de chirurgie
Bonjour, les références sont indiquées en pied d’article. L’article du « Nain couleur de rose » est disponible en ligne sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k42220918/f424.image.r=%22blonde%20que%20son%20teint%22?rk=21459;2 Quant à l’article d’Apollinaire, il est accessible sur Retronews, le site de presse de la BnF, mais il ne doit être consultable qu’avec abonnement. Si vous m’indiquez votre adresse mail, je vous enverrai bien volontiers un fichier PDF du numéro du « Petit Bleu » dans lequel il est paru. Bien cordialement, Monsieur N
Cher monsieur N, votre « Porte ouverte » me plaît et j’y trouve quelques raretés qui s’accommodent à mes goûts. Peut-être sauriez-vous me conseiller… J’anime une collection littéraire nommée Pallas Hôtel, créée en 2010, qui offre trois « portes », qui sont en fait trois voies fonctionnant en accord avec les couleurs primaires : M pour Magenta, C pour Cyan et J pour Jaune. M pour la fiction ayant à voir avec la magie, J pour les jeux (Jocus, Joker) et C pour Carnets, Correspondance. C’est dans cette dernière catégorie que je recherche des textes… Lettres, journal… Entre écrivain et artiste, par exemple. Je vous remercie par avance de vos suggestions, s’il y en a.
Le Lièvre lunaire
Bonjour,
Je visite souvent votre blog mais plus le temps passe plus je le déplore : Pourquoi ne publiez-vous pas votre blog en version papier, un peu comme Le boudoir des gorgones ?
Soyez damné Monsieur N.
Très cher F.T.,
Monsieur N se prenant pour un nouveau Juif Errant, cela fait presque 20 ans qu’il se balade d’un continent à l’autre. Il doit donc se contenter d’un blog, qui le suit plus facilement qu’une publication papier… Somme toute, ce n’est déjà pas si mal !
Cher Monsieur N,
Vous vous prendriez donc pour un Nouveau Juif errant ? Ne pensez-vous pas qu’Asveharus est incapable de recevoir la Vérité, ce pourquoi il est condamné à éternellement la poursuivre ? Ce ne serait pas charitable de vous souhaiter un tel destin mais si cela vous agrée…
Sous les auspices de la lettre Nûn,
José
Il me semble qu’en défilant jusqu’en bas de la page, une fenêtre proposant l’inscription devrait s’ouvrir et vous inviter à y entrer votre courriel. Mais je n’en mettrais pas ma main à couper ! Bien cordialement, Monsieur N.
Cher Monsieur N.
J’ai pris grand plaisir à naviguer dans votre blog.
J’avais, il y a peu, un projet d’anthologie qui, le monde de l’édition étant ce qu’il est, devrait en rester au stade de projet. Un certain nombre de textes, et d’articles, colligés pour l’occasion, pourraient sans doute vous intéresser. Aussi, si d’aventure vous veniez à manquer, n’hésitez pas à me contacter, je vous céderai bien volontiers le fruit de mes recherches éclectiques.
Cordialement.
A.
A vrai dire, je ne manque pas de textes ; c’est surtout le temps qui me fait défaut… Mais votre proposition m’intéresse ; ce serait bien regrettable que personne ne puisse profiter des textes que vous avez réunis. Je ne manquerai pas de vous contacter.
Amicalement,
Monsieur N
Je ne résiste pas au plaisir de vous communiquer ce petit canard déniché dans le journal L’Oued-Sahel, en date du 18 septembre 1899.
Sous le titre « L’arbre de la mort », on peut lire ce qui suit :
» Un botaniste américain vient de communiquer récemment au professeur Nordenhaupt, de Heidelberg, une observation très intéressante qu’il a faite durant ses recherches au Mexique.
Un jour qu’il parcourait la Sierra Madre, il remarqua, croissant sur un rocher inaccessible. un arbre au tronc noir et rugueux, très large à sa base et haut de vingt pieds environ. Quelques branches, rappelant celles d’un saule pleureur, poussaient au pied de l’arbre dépouillé de feuilles et, ayant de plus la faculté de se dresser et de se replier avec une étonnante facilité. Le moindre vent, le moindre choc les faisait tordre comme un simple reptile. Il réussit à se frayer un passage à travers les roches et put parvenir au pied de l’arbre. Comme il l’examinait, un oiseau vint se poser sur une des branches. Celles-ci se contractèrent et se tordirent aussitôt, enlaçant l’animal qui ne tarda pas à disparaître. En quelques minutes il avait été englouti, et seuls ses os et ses plumes tombèrent à terre. Le savant vit d’autres oiseaux se percher sur les branches de l’arbre et disparaître à leur tour ; l’arbre les étreignait et s’abreuvait de leur sang. Piqué dans sa curiosité de chercheur, ce botaniste plaça son doigt sur l’arbre ; it fut saisi à l’instant et retenu si fortement, qu’en le retirant la peau en fut enlevée. Examinant soigneusement les branches, il s’aperçut qu’elles étaient couvertes de petits suçoirs semblables aux ventouses de certains mollusques et portant pour la plupart des taches de sang.
Le professeur Nordenhaupt, à qui, cette observation vient d’être communiquée, reconnaît là l’Arbo Diaboli ou l’arbre de la mort, arbre dont on ne connaît, que trois autres spécimens : l’un sur la cime des monts Himalaya, un second dans l’île de Sumatra, un troisième à Madagascar.
Nous nous faisons un devoir de signaler à nos lecteurs cet arbre maudit, afin de leur éviter, à l’occasion, le désagrément d’être, comme le savant américain, dépouillés d’une partie de leur peau. »
Je reviens vous ennuyer à vous réclamer de sortir les articles en version papier, parce que, vraiment, lire sur un écran de bon vieux textes ça gâche un peu le plaisir.
Pourquoi ne pas sortir La porte ouverte en journal ? https://www.paypernews.fr/
Peut-être finirez-vous par me convaincre… En attendant, je peine déjà à mettre en ligne les articles que je souhaiterais… Quand je serai retraité, peut-être ? 😉
J’aimerais solliciter vos lumières.
Je recherche le titre d’un feuilleton publié, je crois, dans un supplément illustré, et qui racontait la découverte d’une base peuplée, dans l’Arctique ou l’Antarctique, par des êtres humanoïdes de petite taille et aux yeux en amande.
En fait, c’est surtout l’illustration qui accompagnait le feuilleton qui m’intéressait, je ne sais comment, en dépit de toutes mes sauvegardes, je l’ai égarée…
Est-ce que par extraordinaire cet embryon de scénario vous évoque quelque chose ?
Mon dieu, j’ai bien peur de ne pas pouvoir vous être très utile : cela ne me dit rien du tout. Je vais essayer de poser la question à quelques amis spécialistes…
Ayant récemment découvert les écrits de HP Lovecraft, je m’intéresse vivement aux nouvelles fantastiques, un format et un genre que j’avais jusqu’à présent délaissés.
Vous pouvez donc imaginer le plaisir que j’ai eu à me plonger dans votre blog.
Merci donc d’exhumer tous ces écrits, au format texte qui plus est, ce qui, je n’en doute pas, nécessite un gros travail.
Donc, bravo !
Naturellement ; avec plaisir. « La Porte ouverte » est avant tout un lieu de partage. Cela fait bientôt deux ans que je dois préparer une série d’articles sur une autre peintre « spirite » tout à fait remarquable ; mais, mon Dieu ! je ne sais vraiment pas quand je trouverai le temps…
D’après votre description, il doit s’agir de l’eau-forte de Georges Lorin, « La Convoitise, » tirée du portfolio « Au Gré du Songe », 1904. L’album est fort peu courant ; il était prévu initialement un tirage à 500 exemplaires, mais à en juger par les 3 exemplaires que j’ai pu consulter au cours de ma vie, il n’a sans doute été tiré qu’à 50 exemplaires, car, sur chacun d’eux, le dernier zéro avait été soigneusement gratté. J’ai la chance d’en posséder un dans ma bibliothèque.
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Poster un commentaireBonjour,
Je ne comprends rien à qui vous êtes mais j’aime votre blog, on se croirait au Moyen Age, chez Daumier graveur, chez Lautréamont, DONC je vous propose des horreurs, tellement à mes yeux il y a lieu de secouer notre ami commun, le lecteur.
C’est ce qui m’amène, c’est de vous parler de deux titres parus tout récemment et qui commencent à trouver leur public, ici en Suisse: un roman noir berrichon (le Grand Meaulnes pataugeant dans La Mare au diable, ça semble curieux), et des nouvelles, noires elles aussi, racontant les sous-sols d’une ville au-dessus de tout soupçon, Zurich, où Molière est aussi connu…
Quelques infos sur les liens ci-dessous.
A propos de Graine de Sabbat
Cliquer pour accéder à cp_2012-04-17_graine_sabbat.pdf
A propos de Zurich by Night
https://sites.google.com/site/destextesareagir/Trois-titres/graine-de-sabbat/textes/dossier-de-presse-zurich-by-night
Ce n’est pas forcément ce qu’on attend, ce que l’on aime quand on aime vos pages. Mais si ces quelques mots de présentation du roman ou des nouvelles avaient l’heur d’éveiller votre curiosité peut-être aurai-je la chance de vous voir passer un peu de temps à en rédiger une critique ?
Avec l’accord des éditeurs (Nan…?!), je tiens à votre disposition les PDF des textes et images de couv. Voire un exemplaire papier, mais nous sommes pauvres.
Au plaisir de vous lire,
Laurent Trousselle
Bonjour
Vous avez posté un texte sur Apollinaire et Sherlock Holmes. Ce texte est très intéressant. Où peut-on trouver svp la référence du texte d’Apollinaire? Vous présentez le texte d’Eugène P., mais où peut-on lire le texte d’Apollinaire svp? Sur Gallica, il est introuvable.
Merci d’avance. C’est assez urgent, c’est pour un article qui doit paraître bientôt. Bonne soirée,
Dr Xavier Riaud
Docteur en chirurgie dentaire
Docteur en épistémologie, histoire des sciences et des techniques
Lauréat et membre titulaire de l’Académie nationale de chirurgie dentaire
Membre libre de l’Académie nationale de chirurgie
Bonjour, les références sont indiquées en pied d’article. L’article du « Nain couleur de rose » est disponible en ligne sur Gallica : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k42220918/f424.image.r=%22blonde%20que%20son%20teint%22?rk=21459;2 Quant à l’article d’Apollinaire, il est accessible sur Retronews, le site de presse de la BnF, mais il ne doit être consultable qu’avec abonnement. Si vous m’indiquez votre adresse mail, je vous enverrai bien volontiers un fichier PDF du numéro du « Petit Bleu » dans lequel il est paru. Bien cordialement, Monsieur N
Je vais prendre un peu d’habitude par ici
La porte est toujours ouverte ; soyez le bienvenu, faites comme chez vous.
Cher monsieur N, votre « Porte ouverte » me plaît et j’y trouve quelques raretés qui s’accommodent à mes goûts. Peut-être sauriez-vous me conseiller… J’anime une collection littéraire nommée Pallas Hôtel, créée en 2010, qui offre trois « portes », qui sont en fait trois voies fonctionnant en accord avec les couleurs primaires : M pour Magenta, C pour Cyan et J pour Jaune. M pour la fiction ayant à voir avec la magie, J pour les jeux (Jocus, Joker) et C pour Carnets, Correspondance. C’est dans cette dernière catégorie que je recherche des textes… Lettres, journal… Entre écrivain et artiste, par exemple. Je vous remercie par avance de vos suggestions, s’il y en a.
Le Lièvre lunaire
Bonjour,
Je visite souvent votre blog mais plus le temps passe plus je le déplore : Pourquoi ne publiez-vous pas votre blog en version papier, un peu comme Le boudoir des gorgones ?
Soyez damné Monsieur N.
Très cher F.T.,
Monsieur N se prenant pour un nouveau Juif Errant, cela fait presque 20 ans qu’il se balade d’un continent à l’autre. Il doit donc se contenter d’un blog, qui le suit plus facilement qu’une publication papier… Somme toute, ce n’est déjà pas si mal !
Cher Monsieur N,
Vous vous prendriez donc pour un Nouveau Juif errant ? Ne pensez-vous pas qu’Asveharus est incapable de recevoir la Vérité, ce pourquoi il est condamné à éternellement la poursuivre ? Ce ne serait pas charitable de vous souhaiter un tel destin mais si cela vous agrée…
Sous les auspices de la lettre Nûn,
José
Apparemment la porte ouverte est fermée…
Bonjour, Je découvre votre blog, mais ne perçois pas comment m’inscrire pour recevoir les futurs articles et études. Merci pour votre réponse.
Il me semble qu’en défilant jusqu’en bas de la page, une fenêtre proposant l’inscription devrait s’ouvrir et vous inviter à y entrer votre courriel. Mais je n’en mettrais pas ma main à couper ! Bien cordialement, Monsieur N.
Cher Monsieur N.
J’ai pris grand plaisir à naviguer dans votre blog.
J’avais, il y a peu, un projet d’anthologie qui, le monde de l’édition étant ce qu’il est, devrait en rester au stade de projet. Un certain nombre de textes, et d’articles, colligés pour l’occasion, pourraient sans doute vous intéresser. Aussi, si d’aventure vous veniez à manquer, n’hésitez pas à me contacter, je vous céderai bien volontiers le fruit de mes recherches éclectiques.
Cordialement.
A.
A vrai dire, je ne manque pas de textes ; c’est surtout le temps qui me fait défaut… Mais votre proposition m’intéresse ; ce serait bien regrettable que personne ne puisse profiter des textes que vous avez réunis. Je ne manquerai pas de vous contacter.
Amicalement,
Monsieur N
Finalement, j’ai décidé de suivre votre bel exemple.
J’ai bricolé un petit site très basique à l’adresse suivante :
http://lafabriquedumystere.free.fr
C’est loin d’être aussi abouti que la porte ouverte, mais ça se laisse visiter sans déplaisir, tout du moins je l’espère…
Bien Cordialement
A.
Je ne résiste pas au plaisir de vous communiquer ce petit canard déniché dans le journal L’Oued-Sahel, en date du 18 septembre 1899.
Sous le titre « L’arbre de la mort », on peut lire ce qui suit :
» Un botaniste américain vient de communiquer récemment au professeur Nordenhaupt, de Heidelberg, une observation très intéressante qu’il a faite durant ses recherches au Mexique.
Un jour qu’il parcourait la Sierra Madre, il remarqua, croissant sur un rocher inaccessible. un arbre au tronc noir et rugueux, très large à sa base et haut de vingt pieds environ. Quelques branches, rappelant celles d’un saule pleureur, poussaient au pied de l’arbre dépouillé de feuilles et, ayant de plus la faculté de se dresser et de se replier avec une étonnante facilité. Le moindre vent, le moindre choc les faisait tordre comme un simple reptile. Il réussit à se frayer un passage à travers les roches et put parvenir au pied de l’arbre. Comme il l’examinait, un oiseau vint se poser sur une des branches. Celles-ci se contractèrent et se tordirent aussitôt, enlaçant l’animal qui ne tarda pas à disparaître. En quelques minutes il avait été englouti, et seuls ses os et ses plumes tombèrent à terre. Le savant vit d’autres oiseaux se percher sur les branches de l’arbre et disparaître à leur tour ; l’arbre les étreignait et s’abreuvait de leur sang. Piqué dans sa curiosité de chercheur, ce botaniste plaça son doigt sur l’arbre ; it fut saisi à l’instant et retenu si fortement, qu’en le retirant la peau en fut enlevée. Examinant soigneusement les branches, il s’aperçut qu’elles étaient couvertes de petits suçoirs semblables aux ventouses de certains mollusques et portant pour la plupart des taches de sang.
Le professeur Nordenhaupt, à qui, cette observation vient d’être communiquée, reconnaît là l’Arbo Diaboli ou l’arbre de la mort, arbre dont on ne connaît, que trois autres spécimens : l’un sur la cime des monts Himalaya, un second dans l’île de Sumatra, un troisième à Madagascar.
Nous nous faisons un devoir de signaler à nos lecteurs cet arbre maudit, afin de leur éviter, à l’occasion, le désagrément d’être, comme le savant américain, dépouillés d’une partie de leur peau. »
Cordialement
A.
Je reviens vous ennuyer à vous réclamer de sortir les articles en version papier, parce que, vraiment, lire sur un écran de bon vieux textes ça gâche un peu le plaisir.
Pourquoi ne pas sortir La porte ouverte en journal ? https://www.paypernews.fr/
Peut-être finirez-vous par me convaincre… En attendant, je peine déjà à mettre en ligne les articles que je souhaiterais… Quand je serai retraité, peut-être ? 😉
LA CHAMBRE DANS LA TOUR – E.F BENSON : je ne connais pas, mais cela devrait vous plaire.
http://gorezaroff.over-blog.com/2014/01/la-chambre-dans-la-tour-e.f-benson.html
rien sur moi, peu sur toi…
Bah ! ce que nous sommes n’a en réalité aucune espèce d’importance… 😉
Toujours à la peine, pour notre plaisir. Bonne année 2019, nous en profiterons
A vrai dire, c’est nettement plus un plaisir qu’une peine – pour moi, en tout cas… Bonne année à vous également !
Cher Monsieur N.,
J’aimerais solliciter vos lumières.
Je recherche le titre d’un feuilleton publié, je crois, dans un supplément illustré, et qui racontait la découverte d’une base peuplée, dans l’Arctique ou l’Antarctique, par des êtres humanoïdes de petite taille et aux yeux en amande.
En fait, c’est surtout l’illustration qui accompagnait le feuilleton qui m’intéressait, je ne sais comment, en dépit de toutes mes sauvegardes, je l’ai égarée…
Est-ce que par extraordinaire cet embryon de scénario vous évoque quelque chose ?
Bien à vous.
A.
Mon dieu, j’ai bien peur de ne pas pouvoir vous être très utile : cela ne me dit rien du tout. Je vais essayer de poser la question à quelques amis spécialistes…
Ayant récemment découvert les écrits de HP Lovecraft, je m’intéresse vivement aux nouvelles fantastiques, un format et un genre que j’avais jusqu’à présent délaissés.
Vous pouvez donc imaginer le plaisir que j’ai eu à me plonger dans votre blog.
Merci donc d’exhumer tous ces écrits, au format texte qui plus est, ce qui, je n’en doute pas, nécessite un gros travail.
Donc, bravo !
A votre service ! En espérant que vous puissiez y trouver votre bonheur…
J’adore votre blog, comment s’y abonner s’il vous plait?
Bonjour,
Je suis dans l’écriture d’un article sur MME Egoroff, je souhaiterais citer votre blog et votre article, me le permettez vous ?
Cordialement
Naturellement ; avec plaisir. « La Porte ouverte » est avant tout un lieu de partage. Cela fait bientôt deux ans que je dois préparer une série d’articles sur une autre peintre « spirite » tout à fait remarquable ; mais, mon Dieu ! je ne sais vraiment pas quand je trouverai le temps…
Naturellement ; avec plaisir. Bien cordialement, Monsieur N
bonjour, sur le blog, il y a une image qui represente une femme blonde nue qui descend des rochers, puis je savoir la source svp?
D’après votre description, il doit s’agir de l’eau-forte de Georges Lorin, « La Convoitise, » tirée du portfolio « Au Gré du Songe », 1904. L’album est fort peu courant ; il était prévu initialement un tirage à 500 exemplaires, mais à en juger par les 3 exemplaires que j’ai pu consulter au cours de ma vie, il n’a sans doute été tiré qu’à 50 exemplaires, car, sur chacun d’eux, le dernier zéro avait été soigneusement gratté. J’ai la chance d’en posséder un dans ma bibliothèque.